Catégories : Facesitting lèche Gode ceinture strapon Homme soumis, Femdom Domination féminine Chasteté ceinture chasteté hom fem
il y a 4 ans
Le titre de cette histoire érotique pourrait être comment je suis devenue amoureux d’une BBW dominatrice.
Pour ceux qui ne le savent pas, BBW signifie Big Beautiful Woman. Ces femmes peuvent être grandes ou pas mais elles sont rondes, bien enrobée comme l’on dit parfois.
Mais comment cette histoire a commencé ?
J’étais en couple avec une femme qui était à l’inverse d’une BBW. Elle n’était pas moche, bien loin de là, mais c’était un sac d’os. Complexée par sa maigreur, elle mangeait comme quatre pour essayer de compenser, ce qui ne changeait hélas rien pour elle et... moi. Moi parce qu’elle était dominante de nature, c’est ce qui nous avait rapproché, mais elle était surtout très irritable, parfois agressive et une éternelle insatisfaite. Sa domination était parfois rude, pour ne pas dire dure. J’ai souvent gardé les marques de ses punitions pendant des mois. Galia avait la main lourde, très lourde, elle a cassé plus d’une canne anglais sur mes fesses.
Convaincue que je me masturbais en cachette, simplement à cause d’une panne d’érection, elle m’a imposé le port d’une cage de chasteté. Elle me la retirait quand elle avait envie de sexe et, comme elle était gourmande sous la couette, j’avais intérêt à me contrôler si je ne voulais pas souffrir. Ejaculer avant qu’elle jouisse était synonyme de sévère punition en plus, évidement de l’obligation de la lécher jusqu’à qu’elle jouisse à son tour.
Galia aimait le facesitting, le souci était qu’avec sa rudesse, mon pauvre nez n’a pas été fracturé, mais cela tient du miracle. De par son poids plume, je n’avais aucune difficulté à lui servir de chaise. Elle avait vu cette idée sur Fessestivites, la position consiste à faire asseoir l’homme par terre, lui faire mettre les bras en arrière pour qu’il s’appuie dessus, puis, à s’asseoir sur son visage.
J’ai aimé Galia comme un fou, mais ses sautes d’humeur, puis sa rudesse augmentant au fur et à mesure de son mal-être, ma vie de soumis devenait difficile. Elle s’amusait à me féminiser, ce qui n’est absolument pas mon truc, ces tenues qu’elle m’imposait servait principalement à faire les taches ménagères. Ce n’est pas de faire le ménage qui me posait problème, c’est cette lubie de féminisation. Je me trouvais ridicule ainsi déguisé, mon physique ne s’y prête absolument pas.
C’est entravé dans une de ces tenues ridicules, que Galia m’a piégé.
Sous prétexte de ménage mal fait, elle m’a attaché sur la table basse du salon. Mes mains étaient menottées aux pieds de devant, mes jambes aux pieds de derrière. Ma jupe à froufrou était relevée, ma culotte assortie baissée en attente de la fessée s’annonçant sévère. C’est dans cette tenue et position humiliante, sans possibilité de repli stratégique, que j’ai entendu la sonnette. Galia m’a demandé de ne pas bouger, comme si j’avais pu le faire.... avant d’aller ouvrir. Mort de honte, je vis entrer une BBW ravissante mais vraiment ronde de chez ronde. A la louche, un mètre quatre-vingt pour 130 kilos.
Elles ont pris le café, mangé des biscuits comme si je n’étais pas là, comme si cette situation était normale. Galia a ensuite expliqué que j’étais bon à rien, que faire le ménage était compliqué pour moi et qu’au lit, j’étais un éjaculateur précoce. Merci chérie, il y a des fois où je t’ai aimé, des fois où je t’ai haïe pour tous ces mensonges et humiliations.
L’heure de ma punition ayant sonné, elle a pris un Flogger de chez ABCplaisir pour me fesser de bon coeur en expliquant à la BBW qu’avec ça, elle pouvait me punir sans se faire mal à la main. Comme toujours, mes fesses se sont enflammées, j’ai serré les dents pour ne pas crier quand soudain, elle lui a demandé de l’aider ! ! !
N’étant pas à l’aise avec cet instrument, l’invitée perverse a préférer me fesser à la main. En entendant ça, j’ai cru que je souffrirai moins, quelle erreur ! ! ! La main d’une BBW décidée à donner une bonne fessée, cela vaut largement un flogger. Le poids du bras lancé doit y être pour quelque chose, à chaque claque, j’avais l’impression que la table bougeait, c’est dire !
Après m’être fait tanner les fesses, j’ai dû faire le service puis me mettre en cuisine, ces dames ayant décidé de dîner ensemble. A la mine amusée de Galia, je sentais bien qu’il se tramait quelque chose et je ne me trompais pas. A la fin du repas, que j’ai pris quasiment debout, elles se sont installées dans le canapé et m’ont demandé des glaces. Lorsque je suis arrivé, elles complotaient. Galia m’a mis un collier et une laisse, avant de me guider à quatre pattes « comme un bon chien » entre les jambes de BBW. Cette dernière avait retiré sa culotte et écartait les cuisses sans aucune gêne. Et pour cause, c’est là que je devais aller lécher. Pour atteindre le clitoris, j’ai du écarter un peu les chairs généreuses, avant de déguster son petit, ou plutôt gros bouton. J’ai de suite aimé le goût de cette femme aux formes généreuses.
Chaque femme a un goût quand elle mouille, le sien était sucré, je n’ai pas eu à me f o r c e r pour la déguster. Ce qui me perturbait un peu ce sont toutes ses chairs généreuses. Quand elle a serré les cuisses, j’ai immédiatement compris que ces gambettes pouvaient être un sacré piège. Avec le nez dans ses rondeurs et ses cuisses serrées, je peinais à respirer. C’est donc avec les oreilles écrasées, ses pieds sur mon dos, que j’ai du lutiner avec conviction, pour conduire la belle au plaisir le plus vite possible. BBW a trouvé que j’étais une bonne langue, Galia lui a confirmé que j’aimais ça. Sauf que là, si je m’acharnais c’était pour ne pas mourir étouffé.
La fin de la soirée m’a laissé pantois. Galia m’a annoncé qu’elle me prêtait à BBW pour le week-end. Elle a précisé avec insistance qu’elle lui donnait carte blanche pour tout, y compris le sexe si elle le désirait et les punitions si je n’étais pas à la hauteur de ses espérances. OUF ! Galia a rajouté que je ne devais pas la décevoir car la sanction serait terrible.
J’ai compris qu’en réalité, cette soirée n’avait pas été improvisée. J’ai dû aller me vêtir normalement et rapporter une valise rangée au bas de son armoire. Dix minutes plus tard, j’étais dans la voiture d’une femme et en route pour l’inconnu total avec des centaines de questions sans réponse.
Vingt minutes de route plus tard, nous sommes entrés dans une petite propriété isolée et entourée de murs en pierre assez hauts. En voyant le portail électrique se refermer sur nous, j’étais oppressé, une boule se formait sur mon estomac. A peine la porte de la jolie maison fermée, BBW m’a ordonné de me « mettre à poil ». Elle a remis la laisse à mon collier puis tiré jusque dans sa chambre. J’ai du la dévêtir ce qui m’a permis de découvrir sa poitrine opulente de chez « Opulente ».
Poussé sur le lit, j’ai du m’allonger sur le dos. BBW m’a enjambé puis, pour s’amuser un peu, elle m’a donné des gifles avec ses seins monumentaux. Quand elle s’est allongée sur moi, sa poitrine est devenue un piège. Y respirer n’était pas possible. c’est là que j’ai compris qu’elle adorait le « breath contrôl » à sa façon. A poil sous cet amas de chair, avec ma cage de chasteté comme unique « protection », je n’en menais pas large. La belle grosse avait envie de sexe et de luxure. J’ai du téter ses gros tétons ressemblant à des tétines, la dessous ma tête ressemblait à celle un bébé. Il faut dire que je mesure un mètre soixante-cinq et que je ne suis pas musclé, et qu’elle fait environ un mètre quatre vingt.
La BBW s’excitant me faisait un peu peur. Elle a décidé de remonter jusqu’à mon visage pour m’offrir sa chatte à lécher. J’ai vu ses doigts écarter ses chairs et puis plus rien. Dans la seconde qui a suivi, je ne pouvais plus respirer. J’ai lapé comme un fou avant de commencer à m’étouffer. Elle n’a pas réagi de suite et m’a laissé bouger dans tous les sens pour essayer de survivre. Quand enfin elle s’est penchée en arrière, j’ai enfin pu reprendre un bonne inspiration. Le seconde qui a suivi, j’étais à nouveau dans le noir total et surtout, privé d’air.
Pour essayer de satisfaire la belle le plus vite possible et me sortir de ce mauvais pas, j’ai attrapé ses tétons que j’ai titiller. BBW ne m’avais pas donné l’autorisation de la toucher, mais la peur de mourir donne des ailes. Par chance, elle n’en fut pas offusquée ! Au contraire, elle semblait apprécier que ma langue et mes doigts fassent cause commune pour la satisfaire, ses sécrétion généreuses, toujours aussi sucrées, me l’ont rapidement confirmé.
Je me suis dit que BBW devait vraiment être en manque d’amour, ou alors j’étais chez une nymphomane. Quoi qu’il en soit, j’étais mal car elle pouvait me tuer si elle le voulait et, même en me débattant, je ne pouvais pas m’en sortir. Son intention était tout autre comme j’allais le découvrir. Nymphomane elle l’est aussi, c’est sûr, mais ne brûlons pas les étapes de cette histoire.
BBW a fait demi-tour pour m’offrir son séant à déguster. Elle a écarté l’équivalent de deux grosses pastèques avant de s’asseoir sur mon visage. Et là, en même temps que ma langue s’attaquait à son petit trou, j’ai senti qu’elle attrapais ma cage de chasteté. J’ai cru qu’elle voulait m’obliger à lui lécher le cul en m’écrasant les burnes, mais non, elle voulait juste jouer avec mon sexe. Autant dire qu’avec mes précieuses entre ses mains et la peur d’être étouffé si elle s’asseyait en plein, j’ai lapé comme un fou son troufignon. Hélas, elle a lâché mon sexe pour se masturber en même temps que je la léchais. Et là, pour respirer « tintin » car sa position venait de changer. Le breath contrôl fit que je ne suis pas mort, mais cela fait quand même très peur.
L’insatiable nymphomane a joui plusieurs fois avant de me « libérer », traduction, de se relever de mon visage. Elle s’est penchée sur moi pour me rouler une pelle de gloutonne avant de me dire « tu me plais bien toi, je te veux ». Ni une ni deux, elle est aller chercher la clef de ma cage de chasteté qu’elle a ouverte. Puis, sans même retirer l’anneau, elle a godé ma verge mole et toute rabougrie. Après près d’un mois de chasteté, une divine bouche de velours ne pouvait me laisser insensible. Popaul profita de sa liberté pour retrouver toute sa forme.
- Baise-moi j’ai envie mais je te préviens, si tu jouis avant moi, je te massacre ! M’a clairement annoncé BBW en me tirant par la laisse pour s’allonger dans le lit.
Lorsque j’ai demandé un préservatif, BBW m’a indiqué qu’il était inutile. Ma Maîtresse l’ayant informée de me santé et comme elle n’avait plus eut de rapport non protégé depuis 15 ans et que ses derniers examens étaient bons, autant se faire plaisir.
- J’aime le jus d’homme, baise-moi bien et tu auras le droit de jouir dans ma bouche ! M’a indiqué BBW en m’attirant contre elle.
Happé par ses bras, je n’ai eu que le temps de guider ma verge avant de me faire dévorer la bouche. Son puits des plaisirs, chaud et d’une grande douceur, électrisa mes sens, m’emmena rapidement à une frénétique envie de donner des coups de reins. Elle m’a attrapé par la gorge en me disant que si je ne voulais pas mourir, je devais faire attention. Cela calme....
Si bien qu’après trois orgasmes, BBW m’a donné l’autorisation de jouir. Trois coups de reins plus tard, (c’est une image) je me suis retiré pour lui tendre ma verge. BBW s’en ait saisi comme une folle, elle m’a dévoré puis s’est mise à gémir de plaisir quand j’ai joui dans sa bouche. Elle en voulait encore, elle m’aspirait comme pour aller chercher la dernière goutte. C’était divin, cela faisait si longtemps que je n’avais pas joui dans une bouche, et celle là, elle était vorace et de velours. Un moment magique et extatique.
Les muscles encore agités des échos de mes spasmes fous, je me suis écroulé dans le lit. BBW m’a littéralement sauté dessus. Étendue sur moi, me couvrant de tout son corps généreux, elle s’est mise à manger ma bouche, embrasser mon visage tout en me serrant très fortement dans ses bras. Je savourais sans comprendre, cet instant d’amour sauvage, primaire, animal avec bonheur, un bonheur nouveau que je n’avais jamais vécu auparavant.
Après un long moment câlin, elle m’a donné le tube de ma cage de chasteté en me disant « couic ». N’ayant pas d’autre choix que d’obéir, je l’ai remis et je l’ai laissée fermer le cadenas. BBW s’est levée pour aller aux toilettes en m’emmenant avec elle par la laisse. Assise sur la cuvette, pendant qu’elle libérait sa vessie, elle m’a redit « tu me plais toi, je te veux » avant de m’ordonner de lécher la goutte et de lui servir de PQ. C’est là que j’ai compris que Maîtresse avait du la briffer sur ses propres habitudes, puisqu’elle reprenait ses expressions. J’eus le droit de me soulager à mon tour, assis bien entendue cause cage, avant d’être remmené à sa chambre. Elle fit une pause à la fameuse valise où elle récupéra des menottes avec lesquelles elle m’attacha au lit en me disant « c’est pour que tu ne t’enfuis pas ».
Après avoir éteint la lumière, elle se lova contre moi en passant sa jambe par dessus moi, un peu comme si elle voulait vraiment m’empêcher de partir. Même si j’étais épuisé, ma nuit fut difficile, entre les menottes et « Julie pot de colle » m’écrasant à moitié chaque fois qu’elle bougeait. Réveillé de bonne heure, vers 10 heures, je fus libéré avec comme consigne d’aller lui chercher un café. Elle refit un tour aux toilettes sans m’appeler pour lui servir de PQ, avant d’aller se recoucher. Après avoir pris son café et m’avoir reproché de ne pas en avoir pris un, je dus aller en boire un au pas de courses. A mon retour, elle était assise dans le lit et me désignait ses jambes.
- Tu aurais dû me demander si tu pouvais prendre un café avec moi. Cela mérite une fessée, allonge-toi là que je t’apprenne mes habitudes ! Oh quel beau cul que tu as ! Rajouta BBW en ma caressant les fesses qu’elle n’a pas tardé à claquer.
« Tu m’excites à mort toi » me disait BBW en me fessant sans pitié. A peine eut-elle terminé de me tanner le cul, qu’elle attira ma tête sous la couette entre ses jambes. Le message était clair, l’insatiable avait encore envie. Pendant que je me démenais de la langue en espérant ne pas finir dessous, je réfléchissais à ce qu’elle venait de dire : « que je t’apprenne mes habitudes ». Est-ce que ma Maîtresse avait l’intention de me prêter souvent à cette BBWD. (Le D est pour dominatrice)
Quoi qu’il en soit, je n’étais pas contre, même si mon avis comptait peu avec Galia. Avec BBW, cette nuit là, j’avais eu l’impression d’être aimé, j’avais eu de l’amour. Cette sensation ne venait pas du fait que « je m’étais enfin vidé les couilles » non, elle venait des étreintes, des câlins, de ses bisous voraces de femme aimante. Le repas de midi, enfin vers 14 heures, fut pris dans une cafétéria, les resto ne nous prenant plus. BBW prit deux plats chauds, et, comme disait Coluche quand elle mangea des cerises en dessert, les noyaux n’étaient pas fiers. De retour dans sa propriété, l’ordre de me « foutre à poil » ne tarda pas. Elle m’ordonna de laver sa voiture, une belle BMW, en prenant mon temps. Je compris la raison de cette « largesse » temporelle quand je la vis s’installer sur un transat pour me regarder « frotter ses chromes ».
Pendant le repas du soir, que je dus préparer dans ma tenue de soubrette que je déteste, nous avons un peu discuté, la belle ne me lâchant pas d’une semelle de peur que je parte. J’ai pu lui indiquer que la féminisation n’était pas mon truc. Sous prétexte de grande gentillesse, et surtout pour me voir nu.... elle m’autorisa à la retirer. Pendant le repas du soir, que j’ai pris assis sur un gode, (ça c’était du Galia tout craché) j’ai pu en savoir plus sur BBW.
En réalité elle n’est pas Maîtresse. Elle est surtout dominante de nature et une femme branchée sexe. Son problème est que les hommes qu’elle avait eu, hormis son mari décédé, se l’était tapée juste pour baiser ou essayer une grosse. Quand elle m’a dit ça, mon coeur s’est serré, ce manque de respect m’exaspère. BBW sembla triste après cette confidence lui ayant, je pense, échappée. Sans demander la permission, je me suis levé pour aller la serrer dans mes bras.
-
Normalement je devrai te punir pour avoir osé te lever de table sans permission !
-
Oui Madame, mais vous n’y êtes pas obligée.
-
Pour une fois qu’un homme vient me consoler, je pense que je vais oublier cette faute grave ! Dit BBW en m’attrapant par le cou pour me rouler un patin avant de m’ordonner de débarrasser et de mettre la vaisselle dans le lave-vaisselle.
Après avoir exécuté mes taches, je me suis aventuré dans la grande maison en l’appelant. La belle était dans la salle de bain, enfin, comment décrire les lieux, une pièce immense avec douche, deux lavabos et un sauna puis une baignoire gigantesque à remous. Elle s’était fait couler un bain, au bas mots, quatre cent litre d’eau à mon avis, et me tendait les bras.
- Viens faire câlin dans le bain, j’en ai envie.
Si me lover contre elle dans cette immense baignoire me plaisait bien, j’avais quand même un peu peur des envies de la miss « breath contrôl ». Elle ne me noya pas et se contenta de me câliner et de me laver, une nouveauté pour moi. A la suite de quoi, je dus la sécher à la sortie du bain. L’idée de retirer une goutte dans son dos avec ma langue m’est venue, je voulais lui faire plaisir en lui donnant des frissons. Elle a adoré et m’a demandé de « tout faire comme ça ». En clair, elle voulait que je lui fasse des câlins. Cela tombait bien, j’en avais dix ans de retard. C’est ainsi que nous avons commencé à fusionner autrement que dans un rapport BDSM. Je m’éclatais, elle aussi. Elle a beaucoup rigolé quand j’ai soulevé ses gros seins pour lécher les gouttes dessous.
- Bon, j’ai un instrument à essayer dans la valise de Galia. C’est un truc qui m’a toujours faite fantasmer, et qui plus est, pour une fois, je serai du côté des hommes machos !
Je ne voyais pas où elle voulait en venir, dans la fameuse valise, j’avais surtout vu mes tenues humiliantes. Je n’ai compris que dix minutes pus tard, quand, après avoir nettoyé la salle de bain je suis arrivé dans la chambre. BBW-D s’était équipée du gode ceinture de Galia. Couchée sur le lit, elle masturbait le phallus en plastique avec une sourire banane.
« A quatre patte salope » ! M’a dit BBW-D avec un sourire amusé posé sur les lèvres. J’ai bien compris qu’elle ne cherchait pas à être humiliante et s’amusait comme une folle. Je me suis donc exécuté en demandant si elle avait du lubrifiant. Par chance, elle en avait OUF ! Après que je me sois « beurré le cul » BBW-D a tenu à ce que je lustre l’auguste membre de ma bouche. Me voir faire une fellation à un gode ceinture l’excitait, elle prenait sa « revanche » sur les hommes, cela se voyait clairement à ses gestes et sourires.
Bien décidée à accomplir l’acte, quand la belle s’est positionnée derrière moi et a commencé à pousser le gode sur ma rosette lubrifiée, je me suis pris à prier pour qu’elle ne soit pas aussi nymphomane avec un gode ceinture ! ! ! ! Sans quoi, j’allais prendre cher surtout que Galia, ne lui avait pas prêté le plus petit.... En débutante, BBW-D n’osait pas vraiment, la peur de me faire mal semblait la bloquer. Alors pour la remercier de tout cet amour qu’elle me donnait, je lui ai proposé de me laisser faire. Je me suis donc auto empalé avant de lui donner le feu vert. Bien m’en a pris, elle s’est accrochée à mes hanches pour y aller de bons reins, de bon coeur pardon. Au bout d’un moment de ramonage, BBW-D m’a demandé de me coucher sur le dos et de relever mes jambes en ajoutant « comme une bonne salope ».
Et là, une fois couchée sur moi, après m’avoir profondément emmanché, elle m’a fait l’amour. Le seul bémol était son ventre appuyant sur ma cage de chasteté, mais me faire dévorer de bisous et d’étreintes en me faisant défoncer la rondelle fut très jouissif. Encore une fois, c’était de l’amour, pas de la simple baise. Cela ne dura pas très longtemps, elle s’épuisait, quel dommage. Toute essoufflée, BBW-D libéra mes reins, retira le gode ceinture puis voulu qu’à mon tour je la sodomise. Le tube de la cage de chasteté retiré, il fut impossible de retirer l’anneau je bandais trop.
« Rend moi chienne lubrique et applique toi ou je te tanne les fesses » m’a ordonné BBW-D sans pudeur en relevant ses jambes avec difficulté. La noisette de lubrifiant posée, j’ai pris la belle avec douceur avant de monter en puissance avec un immense plaisir. Cela faisait quinze ans que je n’avais plus sodomisé une femme. Autant dire que j’avais du retard ! Et puis, dans les bras serrés autour de mon corps, j’ai eu envie de l’embrasser, de fusionner, de lui faire réellement l’amour. Comme elle avait mal aux jambes, je lui ai proposé de se mettre sur le ventre avec un coussin dessous pour bien soulever ses fesses. A mon tour, j’ai pu l’étreindre pendant que je « naviguais » au creux de ses reins. Cet instant de fusion était si fort, si bon que j’ai joui en elle sans avoir la permission.
« Oh le vilain » a crié BBW-D en m’entendant jouir. Je me suis excusé platement en espérant qu’elle ne m’en voulait pas. Elle m’a repoussé pour faire demi-tour en me disant de la faire jouir avec ma bouche. Le nez plongé dans sa chatoune, j’ai évidement zappé le petit chemin boueux, mais c’est avec une réelle passion que je l’ai, à mon tour, dévorée. J’avais tellement envie d’elle, que je lui ai demandée de patienter juste le temps que je me rince le sexe. A mon retour, ma verge continuait de montrer le plafond et nous avons encore fusionnés jusqu’à tard dans la nuit. L’anneau m’a bien aidé à garder le cap, je l’avoue.
Fidèle à ses valeurs, ou du moins, celles données par Galia, elle m’a demandé de la suivre aux toilettes, vous savez pourquoi.... Nous avons pris une douche avant d’aller nous coucher et câliner un peu, juste un peu, nous étions épuisés.
Le lendemain, comme je n’étais pas menotté, je suis allé faire le café et j’ai posé la tasse sur sa table de nuit. Avec moult précautions, je me suis glissé sous la couette pour aller faire un gros câlin là où elle adore. « Comme réveil il y a pire » a murmuré BBW (sans le D, là elle n’était plus vraiment dominatrice. J’ai un peu souffert de la chaleur, et j’ai du taper sur ses cuisses pour lui faire comprendre que j’étouffais quand elle a joui à n’en plus finir.
-
Tu sais, que tu es le premier à venir me faire un câlin comme ça le matin. Cela ne m’était jamais arrivé. Il faudra recommencer souvent, si tu le veux ! M’a dit BBW.
-
Pourquoi souvent ? Pourquoi si je le veux ?
-
Parce que Galia a décidé de rompre. Elle a rencontré un homme qui lui fait tourner la tête. Un abruti de première qui va la ruiner et la jeter à la rue. Elle me savait célibataire, en mal d’amour, et comme j’avais envie de prendre un soumis comme compagnon, elle a décidé de nous faire nous rencontrer. Je tiens à te préciser, deux choses, elle ne souhaite pas te faire souffrir, c’est pour ça qu’elle m’a longuement briffée. La deuxième chose est que tu me plais beaucoup, vraiment beaucoup et que j’aimerai faire un long bout de chemin de vie avec toi.
J’étais sur le cul ! Mes yeux se sont mis couler. BBW m’a pris dans ses bras et bercé comme un gamin malheureux. « Je n’attends pas de réponse aujourd’hui, rien ne presse, je te laisse tout le temps qu’il te faudra si tu veux de moi comme maîtresse sadique et, je l’avoue, un peu amoureuse de toi ».
EPILOGUE
J’ai changé de crèmerie ! (Humour)
Après avoir eu beaucoup de mal à avaler la façon dont j’ai été jeté, j’ai fini par remercier Galia. Ma vie avec BBW-D est mille fois plus douce, agréable et faite d’Amour avec un grand A même si, je suis toujours sous cage de chasteté, souvent fessé, et à présent, un fan de breath contrôl au centre des chairs épanouies de l’amour de ma vie.
Fin
TSM
Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.
QUELQUES LIENS
ACHETER UNE CAGE DE CHASTETE EN FRANCE
UN FORUM pour parler de chasteté ou poser des questions
ICI il y a 430 histoires érotiques SANS PUB sur les cages et ceintures de chasteté
ICI il y a 6300 photos SANS PUB de dispositif de chasteté
ICI il y a 1100 vidéos SANS PUB sur les cages et ceintures de chasteté
SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque !
J'adore ce récit. Il est à la fois BDSM et à la fois romantique |
Ce site Internet est réservé à un public majeur et averti et est conforme à toutes les règlementations françaises en vigueur. Il contient des textes, des liens et des photos classées X qui peuvent être choquantes pour certaines sensibilités.
Je certifie sur l’honneur :
- être majeur selon la loi en vigueur dans mon pays.
- que les lois de mon état ou mon pays m'autorisent à accéder à ce site et que ce site a le droit de me transmettre de telles données.
- être informé du caractère pornographique du serveur auquel j'accède.
- je déclare n'être choqué par aucun type de sexualité et m'interdit de poursuivre la société éditrice de toute action judiciaire.
- consulter ce serveur à titre personnel sans impliquer de quelque manière que ce soit une société privée ou un organisme public.
Je m'engage sur l'honneur à :
- ne pas faire état de l'existence de ce serveur et à ne pas en diffuser le contenu à des mineurs.
- utiliser tous les moyens permettant d'empêcher l'accès de ce serveur à tout mineur.
- assumer ma responsabilité, si un mineur accède à ce serveur à cause de négligences de ma part : absence de protection de l'ordinateur personnel, absence de logiciel de censure, divulgation ou perte du mot de passe de sécurité.
- assumer ma responsabilité si une ou plusieurs de mes présentes déclarations sont inexactes.
- j’ai lu, compris et accepte sans réserve les conditions générales rédigées en français même si j’ai usage d’un traducteur automatique ou non pour accéder à ce site internet.
Toutes les images contenues dans ce site sont en accord avec la loi Française sur la pornographie (aucune image de mineur n'est présente sur ce site)